A l’heure où il semblerait que certaines société anglaises décident de s’implanter en Suisse (et notamment les Hedge Funds), la proposition d’aller travailler en Angleterre semble venir un peu à contre-pied.
En fait, nous lançons chez Expatwire le même concept au Royaume Uni que ce que nous avons fait pour la Suisse (lancement d’un livre et d’un site avec de l’information sérieuse et fiable, et que nous espérons à valeur ajoutée), alors il nous semblait intéressant de vous en parler. Je sais que certains lecteurs de mon blog sont des globe-trotters et qu’ils apprécieront l’information.
Ce n’est bien sûr pas moi qui vais m’occuper de l’Angleterre, mais mon alter ego sur le sol britannique, Loïc Vennin.
Loïc est journaliste à l’AFP, et possède un vrai profil d’expatrié (il a notamment « traîné » plusieurs années au Canada et en Asie). Il a rédigé « Travailler et vivre en Angleterre : s’expatrier à Londres, en Écosse, au Pays de Galles et en Irlande du Nord » selon le même principe que Travailler et vivre en Suisse, et va s’occuper de l’animation du site Travailler-en-Angleterre.com, lui-même bâti sur le même concept que Travailler-en-Suisse.ch (mais sur une nouvelle plateforme plus interactive).
Et voici un petit scoop : à la rentrée, nous vous présenterons l’Allemagne.
Vous pouvez aussi consulter la page Facebook de Travailler et vivre en Angleterre.
Dites-moi ce que vous en pensez !
A quand le travailler et vivre aux USA? l’Angleterre non merci…
Je pense qu’il y aurait toute une collection à écrire, pratiquement tous les pays ont leur attractivité et les motifs d’expatriation différents. Surtout malheureusement et c’est nouveau, pour les jeunes Français qui souvent se sentent à l’étroit en France ou tout simplement ne trouvent pas de boulot.
On peut lire dans les blogs le nombre de jeunes (et moins jeunes) qui demandent à rester en Thailande par exemple, mais aussi au Brésil et dans les pays en émergeance (Brésil). Je pense bien sur à la Chine, mais la Floride par exemple (et rien que la Floride…et malgré la crise sévère !), a attiré 5% de Français de plus en 2009. Et pratiquement pas de base équivalente à « Travailler-en-Suisse »…