Le secteur de l’industrie chimique et pharmaceutique en Suisse représente près de 4% du PIB, est un gros exportateur et emploie environ 65 000 personnes.
La plupart des entreprises sont présentes en Suisse alémanique, avec une forte concentration autour des cantons de Bâle ville et Bâle campagne, mais elles sont également présentes en Suisse romande, notamment à Genève.
Pour les spécialistes du secteurs qui veulent travailler en Suisse, c’est une véritable opportunité.
Les entreprises suisses de ce secteur, et particulièrement les entreprises pharmaceutiques, sont régulièrement classées dans les entreprises les plus innovantes, avec un tissu économique composé de grands groupes comme Roche, Novartis, ou Merck Serono, des entreprises de taille plus modeste comme Actelion, mais aussi un nombre très important de sous-traitants.
Quelques ressources utiles pour ceux qui veulent travailler en Suisse dans le secteur de l’industrie chimique et pharmaceutique
– Annuaire des entreprises suisses de ce secteur sur le site de SGCI Chemie.
– Étude qui fait un état des lieux du secteur de l’industrie pharmaceutique
– Perspectives et état des lieux de l’industrie pharma en Suisse sur le site Travailler-en-Suisse.ch
Bonjour,
Je viens de lire votre article et le trouve très intéressant. Malheureusement, nous sommes maintenant en 2013 et j’aurais aimé avoir une donnée réactualisée des difficultés de recrutement pour la Suisse Francophone. A savoir, ce marché a t il beaucop évolué depuis 2009 à savoir : la demande personnel étranger et pricnipalement français est elle toujorus soutenue ? La difficulté pour les employeurs locaux à trouver ces profils là est elel toujorus la même ?
En effet depuis 2009, la perte de nombreux brevets, la baisse des remboursements et les bévues de SErono ont elles changé la done ?
Merci bien pour votre réponse.
Sincèrement.
Matthieu VIOTTI
Hays Life Sciences Manager
Bonjour,
La demande est toujours soutenue en 2013. Il y a eu un vrai creux en 2010 et 2011.
La grande différence entre maintenant et 4 ou 5 ans auparavant, c’est que les employeurs ont beaucoup de choix… la sélection est donc plus difficile pour les candidats.